Les spectres diurnes Nantais apparaissent en 2017 sous cette forme mais sont bel et bien constitués de chair et de sang, déambulant parmi les sinueux chemins du rock souterrain depuis environ deux décennies.
Leur but n’est pas d’effrayer les gens mais d’exposer un rock multiple, alimenté autant par les années 90, le métal progressif et le hardcore à fleur de peau dans des tonalités proches d’Envy. Une démarche instrumentale nonchalante, expérimentée, déjà sereinement en place sur un premier EP sans titre. Autrement dit de la matière sonore que l’on peut toucher, et réciproquement, sans risquer de passer à travers.